Comment je suis devenue photographe de mariage

(et pourquoi j’aime ça)

Lorsque que j’ai commencé la photographie au lycée dans les années 90, rien ne me prédestinait à devenir photographe de mariage.
La découverte de la photographie, au club photo du lycée que je fréquentais, s’est d’abord faite par le labo photo.
Parce que oui, c’est ça ce que je voulais faire initialement. Devenir laborantine.
Passer des heures en chambre noire, à faire du tirage, encore et encore.

Il y a 10 ans, alors que je travaillais en labo photo, la photographie de mariage ne m’attirait absolument pas. Le pingouin et la meringue avec tout le toutim et le grand tralala, non merci, très peu pour moi.

Alors me diras tu, pourquoi es tu devenue photographe de mariage ?
C’était sans compter les rencontres, les amitiés qui en ont découlé et tous ces moments de vie passés ensemble.

Reporter Photo de la vie quotidienne

Le mariage représente à mes yeux le prétexte idéal pour réunir tous ceux qu’on aime pour faire une grosse fête, parce que disons le, un mariage, ça ne se produit (normalement) qu’une seule fois dans une vie.

J’aborde donc cet évènement de vie avec une approche documentaire, celle de la photographie sociale. 

DEFINITION : la photographie sociale, tout comme la photographie documentaire ou la photographie humaniste, est une branche du photo journalisme.
TRADUCTION : je suis une photo-reporter de la vie quotidienne. (et je me déplace beaucoup à vélo, mais pas que…)

photographe à velo
(c) Vincent Beras

Le Mariage : un gros shoot de love

Concrètement, il y a plein de choses qui me font kiffer dans la photographie de mariage.

* Je trouve ça extraordinaire la confiance que vous m’accordez, celle de témoigner de votre journée.

* C’est de vous accompagner et de vous conseiller dans les préparatifs et le déroulé de votre mariage, afin de rendre cette journée encore plus inoubliable. Je ne suis pas une simple prestataire,  je suis celle qui va être là TOUT LE TEMPS. Oui oui. Et j’ai plein de conseils à vous transmettre.

* En tant que photographe de mariage, j’ai le droit de tout voir, d’aller de partout. Plus intime que vos témoins ou que vos parents ! Tellement intime que parfois c’est moi qui conduis la mariée.

Immortaliser votre plus beau jour

* Être photographe de votre mariage, c’est devenir votre proche, votre confidente, alors qu’on se connait à peine, vivre des moments forts en émotion et finir votre mariage avec la question récurrente de vos invités « tu es une amie des mariés ? « 

* C’est de vous voir vous découvrir, lors de la remise de votre reportage, les yeux brillants et de vous entendre dire « woooow mais t’as photographié ça !! » (je vous l’ai dit, je suis de partout)

* C’est aussi de finir le lendemain avec plein de courbatures….

photographe de mariage allongée par terre
(c) Vincent Beras
photographe de mariage couchée au sol
(c) Jessica Evrard
photographe de mariage en action

Fabriquer vos souvenirs

* Être photographe de mariage, c’est travailler sa créativité, profiter de l’environnement pour vous créer des images et des moments inoubliables.
Du Firstlook aux photos de groupe en passant par le lancer de mariés, mon but est de vous amener à vivre des émotions encore plus fortes.


* Mes images vont vous accompagner tout votre vie.
Ces photos seront votre patrimoine visuel, votre histoire que vous transmettrez à vos enfants et petits-enfants.
Bon là c’est l’égo qui parle. Mais quand même, quand on y pense : vous allez vous souvenir de moi (et vice et versa) toute votre vie !

* C’est surtout la chance incroyable de photographier le bonheur des gens
Et ça, c’est inestimable ❤️

Moi qui claironnais haut et fort il y a 10 ans « la photo de mariage, jamais !! », désormais c’est « la photo de mariage ? Encore !! »
Je suis devenue complètement accro…

Raison pour laquelle il ne faut jamais dire jamais… (et peut-être même qu’un jour je me marierais)

Vous vous mariez ? Contactez-moi, vous verrez, vous ne le regretterez pas !

Contactez-Moi

Mon travail vous plait et vous souhaitez que je vous accompagne dans cette aventure ?

Go !